C'est léger, aérien. Et comme Dieu est de la partie, autorisons-nous à parler de petit miracle de l'art pâtissier. Pour les réussir, il vous faudra de l'angélique délicatesse et la force de la foi. Le nom surprendra vos invités s'ils le découvrent au moment où, suave, vous leur servirez ces pets de nonne.
Préparation :
Mettre 1/4 l d'eau à chauffer avec le beurre, le sel, le sucre. Au moment de l'ébullition, retirer du feu, ajouter d'un seul coup la farine, mélanger énergiquement puis remettre sur le feu et mélanger jusqu'à ce que la pâte se détache du fond de la casserole. Hors du feu ajouter les œufs, un par un en battant fortement (faute de qyuoi les beignets ne gonfleront pas) puis ajouter le rhum et la fleur d'oranger. Faire chauffer la friture, y mettre la pâte par morceaux gros comme des noix. Retournez les pets s'ils ne le font pas d'eux mêmes. Lorsqu'ils sont dorés, les égoutter puis saupoudrer de sucre.
Hélas
ce pur délice sied mal à l'espace : le risque de remplir
l'air de miettes est réel. Pour célébrer son
retour sur terre seulement !
Source : http://www.marmiton.org/recettes/recette_pets-de-nonnes_21249.aspx
c'est drôle ! chez ma mère, le pet de nonne était le trou du beigne… une fois frit, elle le trempait dans le sucre à glacer. Miam ! il n'y avait donc pas de rhum dans la recette, mais j'admets que j'en avalerais bien quelques-uns de ceux-ci.
RépondreSupprimerLe trou du beignet ?!! On sort pas des orifices dans cette histoire !
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